Simone Weil (1909-1943) est une exception dans le paysage philosophique. Philosophe certes -agrégée même, et professeur – ; mais en même temps militante en faveur de la condition ouvrière – elle travailla en usine -; de convictions anarchistes; résistante – elle rejoignit les Forces Françaises Libres à Londres ; mystique mais se refusant à entrer dans l’Eglise … Tout cela dans une courte vie de 34 ans.
L’originalité de ses positions et la modernité de ses analyses sont stimulantes et ne peuvent laisser indifférent.
à lire :
« l’enracinement », pour ses analyses du malaise social, ses propositions, et l’exposé de sa thèse principale sur les besoins vitaux de l’âme parmi lesquels l’enracinement dans une collectivité
« attente de Dieu », pour l’évocation de sa fusion mystique avec le Christ et les raisons de son hostilité à l’Eglise catholique